Pas mal de retard ces derniers temps, mais pas mal d’idée dans la tête. Alors autant en déposer quelques unes Commençons dans l’ordre. D’abord, la découverte d’un livre :
Quand je l’ai acheté, je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à cela. Je croyais avoir un roman policier entre les mains, et pas à grand chose de plus. Alors au départ, tout commence bien, je suis servie! Moi qui n’aime pas les romans policier, on assiste à trois accidents mystérieux. Tout est là : le suspens de ne pas savoir qui attaque, ni pourquoi. On assiste au dépôt de plainte, puis l’histoire qui lie ces trois personnes : la librairie “Au bon roman”. Tout au long de l’histoire, on apprend la construction de la librairie, comment et pourquoi se projet est monté. Et à l’ouverture de la librairie, une seule question se pose: “mais pourquoi une librairie pareille n’existe pas?”
L’impression que ce que je pense est mis en mot, c’est rare! Ce livre m’a fait me poser beaucoup de question sur ma consommation de livre : pourquoi j’achète ce livre et pas un autre en ne sachant pas si je vais l’apprécier ou non?” Eh bien certains, c’est vrai, c’est grâce à la publicité, au grand battage médiatique qui se fait autour d’un livre. Pourquoi lire le Da Vinci code? Parce qu’on en parle. Et pourtant, le résumé ne me tentait pas. Et bien j’ai eu l’impression de perdre mon temps. Enfin bref, tout ça pour dire que la grande consommation de masse atteint aussi le livre. Il n’y a qu’à voir les petites librairies qui disparaissent, englouties par les FNAC et autres…Pas de conseil, les gens ne savent pas ou ne connaissent pas la moitié des livres, alors que dans les petites, on peut demander un conseil sans passer pour un fou car on ne sait pas quoi lire…
Enfin bref, là n’est pas le débat. Enfin oui, c’est le sujet de livre. Lire pour lire ou lire bien?
Sinon, le récit tient en haleine d’un bout à l’autre grâce à une seule question : “mais qui écrit?” oui bon aussi car on aimerait savoir qui sont les assassins mais en soit, ce n’est pas le sujet principal. La librairie prend très vite de l’ampleur, et ce n’est pas plus mal. Les personnages sont attachants, et on ne peut pas sortir de ce roman indifférent.
Donc en résumé, “Au bon roman” mériterait d’avoir une place “Au bon roman”!
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