La vie c’est comme…

Un camembert. Soit elle pue, soit elle est insipide, mais elle est rarement pile-poile comme il faut. Ainsi commence chaque “chapitre” de ce roman, lu dans le cadre des coup de cœur 2013

 

 

Et je dois dire qu’il est assez surprenant! Comment un être humain “asocial” pourrait à lui tout seul changer le monde… Bon avec l’aide de quelques personnes tout de même. Ou quand un mouvement devient un peu n’importe quoi et touche trop de gens d’un coup.

Un récit qui nous fait réfléchir sur notre comportement d’”antipathies”, ces méchants qui font souffrir les gentils. Qui sont égoïstes et font du mal. Après lecture de ce roman, je me demande en fait si je ne serais pas antipathies… ou gentil… et en même temps, on est tous un peu des deux selon les circonstances…

Donc en gros, comment vivre mieux sans écraser les autres, mais en se respectant soit même? “La liberté des uns se terminent là ou commence celle des autres”. C’est un peu le principe. Un roman qui m’a fait réfléchir en gros par son thème.

Vite lu, bien écrit, j’ai même rigolé par moment. La construction du livre est un peu lassante au bout d’un moment, j’avoue que je n’ai pas lu tout les “vivre c’est comme”. Mais j’ai passé un bon moment avec ce récit, que je suis contente d’avoir découvert!