Mini speech : Avant, on dinait en couple, maintenant on dine à 4 (les deux personnes et leurs portables). Avant, une fête privée était privée. Maintenant, il faut faire des photos les plus terribles et les montrer à tout le monde pour montrer “comment que la fête était trop de la balle”. Ou comment Facebook et d’autres ont changé les relations.
En lisant le résumé, je m’étais dit que j’allais beaucoup rire avec ce livre. L’extrait lu en cinq minutes aussi. En fait, à la lecture, j’ai commencé à me poser beaucoup de question sur mon utilisation d’internet (en particulier de Facebook, vu que je l’utilise, contrairement à d’autres sites mentionnés…)
Et là du coup, c’est un peu moins drôle… Comment Facebook a réussi à nous rendre aussi dépendant et nous faire croire que si nous ne sommes pas connecté, nous n’avons pas de vie sociale? Pourquoi vouloir se montrer à tout prix? Rendre les autres jaloux?
Facebook a changé énormément de chose dans nos relations aux autres, et en y réfléchissant, ca fait assez peur… internet arrive à nous faire devenir des “big Brother”, ou chacun contrôle ce que fait les autres, le voit et le commente. Pourquoi mettre un statut si ce n’est pas par narcissisme, montrer son envie d’être lue et de montrer son opinion, alors que dans la vie de tout les jours, on ne prône pas ses opinions partout et à tout bout de champ juste pour avoir un commentaire!
Et surtout ce qui m’a fait réfléchir, c’est la partie couple du livre… Maintenant si nous ne somme plus mis en couple virtuellement, c’est que nous ne le sommes plus dans la réalité. C’est à se poser des questions!! En quoi la virtualité a remplacé la vraie vie?
Ce livre ne va pas énormément changer mon comportement, mais en tout cas il m’aura fait réfléchir et j’espère qu’il en fera réfléchir plus d’un!
Coucou
RépondreSupprimerJe n'ai pas de facebook et je m'en porte pas plus mal .
Bonne soirée .Bisoux
Ahah j'espère bien qu'il y a des résistants!!il ne faut JAMAIS commence...
RépondreSupprimerFacebook n est pas un problème en soi , c est bien son utilisation
RépondreSupprimerQui est problématique ! Quelqu un qui est bien dans sa tête ( si peu le sont)
En fera une utilisation adaptée et dans le cas contraire il en sortira le constat inverse.
et donc quelle est l'utilisation adaptée?
RépondreSupprimerDonc dès que tu fais une utilisation inadaptée tu n'es pas bien dans ta tete?pas sur de comprendre...
Je n'ai pas de facebook non plus. Et pourtant on m'a presque forcée la main. J'ai tenue bon! :)
RépondreSupprimerJe ne pense pas faire un mauvais choix en boycottant cette plate forme. On me la vend comme formidable, très pratique, sympa... Je n'en doute pas mais je vis très bien sans et j'ai des amis amlgré ça ^^
Je pense comme Ronaldo, Facebook (et les autres médias sociaux) n'est pas un problème en soi, on peut l'utiliser sans en être dépendant. Par exemple, on peut mettre un statut pour amuser les gens qu'on connaît ou leur apprendre quelque chose d'intéressant, pas par narcisisme. On peut y parler de choses "publiques" et garder sa vie sentimentale pour soi (on n'est pas obligé d'indiquer son statut amoureux par ex). On peut avoir un compte facebook et pourtant avoir une vie sociale épanouie (d'ailleurs facebook est bien pratique pour organiser des rencontres "in real life"). On peut s'en servir pour garder contact avec des gens qu'on n'a pas la possibilité de voir en vrai. On peut y passer de temps en temps, quand on a le temps, et puis s'en passer quand on en a envie. C'est ça que j'appelle une utilisation adaptée.
RépondreSupprimerJ'utilise facebook comme j'utilisais avant msn, principalement pour parler avec des amis qui ne se connectent plus sur msn pour la plupart, trouvant facebook tellement mieux pour montrer chaque chose qu'ils font. Je trouve ridicule de mettre un dossier entier de photos, avec des photos affreuses qui plus est, pour chaque évènement "super important" auquel on participe, dire que l'on est en couple avec untel, ou dire chaque jour où l'on est, ce que l'on fait.
RépondreSupprimerSi je dis tout cela, c'est que je ne le fait pas (du moins je crois !), et j'espère ne pas finir par faire ça.
Je pense que je vais lire ce livre.