15 mai 2013

Volons, resistons!

Enfin, après presque deux années de squatt dans ma bilbiothèque, j'ai ressorti un Levy qu'on m'avait prêté. Et j'avoue que je ne l'avais pas choisi au hasard.
 

Pour moi, la deuxième guerre mondiale est une énorme curiosité, dans le sens où je ne comprends pas comment l'humain a pu réagir ainsi. Oui bon contexte et tout blablabla. Mais ça m'hallucine. Du coup, en général, je suis assez sensible aux romans traitant de cette période, que ce soit dans le cadre d'une fiction où de la réalité.
Celui-ci n'a pas fait défaut à la règle : emporté par les enfants de la résistence, ou comment une petite vrigade tient depuis le début le pari que le printemps reviendra avec la liberté. Un récit qui se lit d'une traite. Une envie d'être avec eux, dans l'action, malgré les dangers. Une bande de copains, au final, s'il n'y avait pas la guerre derrière.
Trois parties, trois endroits où la vie ne doit pas s'arrêter. Où il faut toujours garder l'espoir.
En fait, en lisant ce livre, on espère que la liberté sera toujours là. Et qu'est-ce qu'on est con de se plaindre tout le temps!
 


 

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