Merci livraddict et les éditions JC Lattès pour ce nouvau partenariat!
Un récit que j’attendais
poignant. Avec lequel je pensais être transporté loin. Malheureusement, ce ne
fut pas le cas. Il va être difficile pour moi d’expliquer mes raisons, ayant de
la peine à mettre le doigt dessus.
L’histoire en soi,
quarante jours avant l’annonce d’une maladie ou non, peut être prenante. En effet,
nous suivons la narratrice dans ses hauts, ses bas, ses rendez-vous avec les
médecins, le soutien ou non des personnes q ui
l’entoure. De ce fait, comment vivre la maladie dans l’attente. Surtout quand
il s’agit d’un cancer, les questionnements peuvent être prenants : vivre
ou mourir ? Continuer à avancer en ne sachant pas s’il faudra s’arrêter ?
Tout un tas de questionnement qui peut nous arriver, avec ou sans maladie. Mais
en soi, l’urgence due à la maladie est bien ressentie.
Ecrit sous forme de
journal de quarante jours, j’ai quand même fait un parallèle avec les quarante
jours de carême… Et dès qu’il y a un lien religieux pour moi, ça devient
difficile, je ne sais pas pourquoi. Pourtant le journal est une forme qui me
convient bien ! Mais là… Non pas croché à la forme…
Le style, quant à lui,
m’amène à être complètement partagée également. Certains passages m’ont fait
découvrir de magnifiques images au sujet de la fin, le pourquoi du comment de
la maladie, de l’attente, de la mort. Dans ces moments là, le premier mot qui
vient est « WAOUH ». A d’autres, les phrases deviennent longues,
plates, sans force malgré justement cette longueur. Et du coup, tout retombe à
plat.
Un des rares livres
que je n’aurais pas pu terminer. Dommage, le sujet était touchant, prenant,
mais le style ne l’a pas servi. Je garde cependant en mémoire ces images fortes
qui m’ont touchés.
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