Des petits trous de motivation font que je vais mettre à jour quelques petites pages de ce blog. Et pourquoi pas me direz-vous? ça fait un peu de lecture et en plus, ça m’occupe dans ma non envie de réviser ces examens… donc on va parler de quoi maintenant? Eh bien de livre pardi!!
Comme chaque année, je me demande si je vais acheter le dernier Werber en grand format, ou si je vais réussir à tenir jusqu’à la parution en poche… et encore une fois, j’ai craqué! Eh bien oui, pourquoi attendre pour savoir ce que sera ce livre, surtout lorsqu’on a un bon à la FNAC? (Dommage, pas pu l’acheter à Payot…mais bon…ça ne regarde que moi…)
Mini speech : le cyclope, grand comique français, meurt après son dernier spectacle, dans sa loge, en riant. Mais comment peut-on mourir de rire? C’est ce que souhaite découvrir Lucrèce Nemrod, accompagné d’Isidore Katzenberg, couple reformé pour une troisième aventure! Mais que vont-ils découvrir?
Ma réaction, et bien…je suis un peu entre deux. Je m’explique : grande fan de Werber, j’aime son style, j’aime comment il amène ses intrigues mais le problème c’est que justement, c’est toujours la même chose!!! J’aimerais bien qu’il change de style un peu, qu’il y ait quelque chose de surprenant dans un de ces romans, qui me fasse vraiment me dire “waouh c’est quelque chose”. En fait je recherche la même impression qu’après ma lecture des thanatonautes… qui était juste incroyable!!
Bon ben sinon comme d’habitude, plusieurs chapitres, un peu de connaissance (l’histoire de l’humour), un peu de blagues vu que c’est un livre sur le rire (la plupart ne sont pas drôle), une bonne intrigue, on mix tout ça avec quelques moments de vrai suspens et ça donne un Werber qui en soit, n’a rien de très surprenant. Bon d’accord, quand même un peu la chute que je vous laisserais découvrir. Mais cette fois, je suis vraiment déçue de n’avoir pas pu attendre la version de poche. En plus il a fallut se trimballer 600 pages dans le bus grand format pendant deux semaines, pour avoir seulement quelques minutes pour le lire… pas pratique…
Par contre ma plus grande déception : c’est la reprise d’une nouvelle de son livre “Paradis sur mesure”. Donc déçue de revoir la même idée reprise, même si c’est en plus long, plus détaillé. Il y a beaucoup de chose qui se recoupe. En fait il n’y a pas que ça qui est repris. Tout d’un coup Lucrèce a lu “les fourmis”, les personnages écoutent “Muse” (ce qui n’est pas pour me déplaire), la nièce d’Isidore est Cassandre, héroïne d’un autre roman… tout commence à prendre un drôle de tournure… ou serait-ce une grande fresque ou pour finir, tout les personnages vont finir par se croiser?
Enfin bref. Tout de monde un bon moment malgré une lecture lente, et par moment pas très passionnante. Mais ça m’a tout de même permis de gagner quelques moments sur mes révisions! Arrêtons la procrastination, et mettons nous au travail!
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